Notre équipe au Cameroun

Abdel Rahmane DIOP rejoint l'OIM Cameroun en qualité de Chef de Mission. Il était affecté au Bureau du Directeur Général en tant qu'Officier de Liaison et de Politique pour le Secrétariat du Réseau des Nations Unies sur la Migration. Il couvre l'initiative des pays champions du GCM et les groupes de travail thématiques du Réseau des Nations Unies sur la migration liés aux accords bilatéraux de migration de travail et à l'accès des migrants aux services.

Abdel Rahmane est diplômé de l'Institut des hautes études du Québec (HEI), de l'Université Laval et de l'Université de Montréal. (HEI) ; Université de Laval (Québec, Canada), en plus de son diplôme de droit public, relations internationales de l'Université Cheikh Anta Diop (Dakar, Sénégal). Avant de rejoindre l'OIM en 2013, il a travaillé au Programme des Nations Unies pour le développement et a occupé divers postes de recherche. Parmi les principaux sujets d'intérêt, il a mené des recherches sur les politiques de développement et la migration, la traite des êtres humains, la migration et le développement et les relations Chine-Afrique. Avec près d'une décennie d'expérience en politique, en multilatéralisme et en gestion de projet, Abdel a travaillé aux niveaux national et international pour le gouvernement, les organisations internationales et la société civile (y compris le monde universitaire) dans des contextes de pays en développement et de pays développés (par exemple au Burkina Faso, en Belgique et au Canada).

M. Alfredo LO CICERO, nouveau Chef de Bureau et responsable programmes de UNOPS au Cameroun, a pris ses fonctions le 20 Février 2023 et il est officiellement accrédité depuis le 8 Mars 2023.
M. Lo Cicero il a 24 ans d’expérience dans les régions du Nord Afrique, Balkans, Moyen Orient, Caribe – Haïti, Afrique de l’Ouest, de l’Est et Centrale. En total 9 pays en longue mission, ainsi que plusieurs d’autres en brève.
Lors de ses précédents rôles, il a assuré la position de Directeurs Programmes – Adjoint chef de mission pour les Organisations non Gouvernementales Internationales Norwegian Refugee Council, CARE, Weltungerhilfe, Save the Children, et Oxfam au Cameroun, Mali, Burkina Faso et Haïti. Il a aussi occupé le poste de Chef de Mission au Sud Soudan pour CESVI, et précédemment il a été Directeur de Base pour l’OIM en Haïti. Auparavant, il a servi comme Responsable Programme Gouvernance, et Project Manager au Liban, Palestine, Albanie et Tunisie.
Il a également assuré un parcours dans le secteur des Services sociaux et assistance à l’enfance comme Directeur Exécutif d’une coopérative à Turin (Italie), et il a occupé le poste de Responsable partenariat et médiateur International pour un Cabinet Juridique International basé à Londres. Durant ses expériences en tant que Directeur Programmes, M. Lo Cicero s’est particulièrement investi sur l’interconnexion programmatique et opérationnelle bilatérale, comme dans les cas entre Haïti et République Dominicaine (pour Oxfam), entre Burkina Faso, Mali et Cote d’Ivoire (pour Save the Children), et entre Liban et Syrie (pour la Coopération Italienne). Il a évolué ses compétences dans la Management de programmes, dans la gestion de missions, et dans le business développement.
M. Lo Cicero il est titulaire d’un Diplôme Universitaire en Sciences Politiques / Relations Internationales (en Italie), de deux Masters en Géopolitique et Analyses des Conflits (France), et une mise en œuvre de l'étude en Doctorat en Géopolitique à l’Université Paris VIII. Il a également un diplôme en Médiateur International pour la résolution des conflits.

Antonio Luís Évora Ferreira Querido est le Représentant de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) au Cameroun, nommé le 18 avril 2025. Il cumule plus de 30 ans d’expérience dans le développement national et international, avec une expertise approfondie en politique agricole, en analyse des systèmes environnementaux et en développement rural durable.
De 2018 à 2025, il a été Représentant de la FAO en Ouganda, où il a considérablement élargi le portefeuille de programmes du bureau-pays, dirigé des initiatives de coopération Sud-Sud avec la Chine, et piloté d’importantes interventions sur la résilience face au changement climatique, la transformation des systèmes alimentaires et l’autonomisation économique des femmes. Auparavant, il a été Conseiller Technique Principal de la FAO en Angola (2016–2018), où il s’est consacré au renforcement de la résilience climatique des systèmes agro-pastoraux à travers les Écoles pratiques d’agriculture (Farmer Field Schools).
M. Querido a occupé plusieurs postes de haut niveau au Cap-Vert, notamment Président de l’Institut national de recherche et de développement agricoles (INIDA), Doyen du Département des sciences et technologies à l’Université du Cap-Vert (Uni-CV), et Chef de l’unité Environnement, Énergie et Réduction des risques de catastrophe au Bureau conjoint des Nations Unies (PNUD, UNICEF, UNFPA). Il a également été membre du Conseil du FEM représentant l’Afrique de l’Ouest.
Il est titulaire d’un doctorat en science des plantes tropicales et des sols de l’Université de Hawaï (États-Unis), d’un master en analyse et suivi des systèmes environnementaux de l’ITC aux Pays-Bas, et d’une licence en sciences végétales-agronomie de l’Université de Californie à Davis (États-Unis). Ses travaux académiques et de recherche portent sur la conservation des sols et de l’eau, la modélisation géostatistique, ainsi que l’application de la méthode d'entropie bayésienne maximale pour quantifier les stocks de carbone organique des sols dans les systèmes agricoles en Afrique de l’Ouest. Il est expert en analyse de données géospatiales, modélisation prédictive et statistiques appliquées.

De nationalité ivoirienne, M. Claude Yao Kouame travaille pour l’Organisation Internationale du Travail depuis 2003. Sa carrière professionnelle qui s’étend sur quelques 35 ans lui a permis d’acquérir une vaste expérience à l’échelle nationale et internationale.
Ingénieur Civil de l’Ecole Nationale Supérieur des Travaux Publics de Yamoussoukro en Côte d’Ivoire, il débute son parcours professionnel en 1987 par des consultations en matière d’expertise internationale pour le développement rural et industriel en Côte d’Ivoire.
De 1989 à 1997, il se consacre à la recherche au Centre de recherches architecturales et urbaines de l’Université d’Abidjan. Titulaire d’un Master en Sciences (MSc) de la Gestion de projet de l’Université du Québec à Montréal au Canada en 1993, M. Yao Kouame devient Coordonnateur national de projet au Bureau de l’OIT pour les pays du Conseil de l’Entente, à Abidjan, en 1997. Il est ensuite nommé, en 1999, Chef du Projet d’appui à la conduite d’opérations municipales puis Conseiller technique du Directeur général du Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD) relevant du Cabinet du Premier Ministre ivoirien.
Il entre à l’OIT en 2003 en qualité de Spécialiste technique et expert international des programmes d’investissement à forte intensité d’emploi au Bureau sous-régional de l’OIT pour l’Afrique centrale à Yaoundé. En 2008, il rejoint le Bureau sous-régional de l’OIT pour le Sahel à Dakar en tant que Spécialiste technique principal des programmes d’investissement à forte intensité d’emploi. Il est ensuite transféré au Département des politiques d’emploi au siège de l’OIT à Genève en Suisse où il occupe, de 2019 à mi-novembre 2023, le poste de Spécialiste des politiques et programmes d’investissement à forte d’intensité d’emploi.
Depuis le 15 novembre 2023, M. Claude Yao Kouame est le Directeur de l’Equipe d’Appui Technique au Travail Décent de l’OIT pour l’Afrique centrale basée à Yaoundé et Directeur de Bureau Pays de l’OIT pour le Cameroun, la Guinée Equatoriale et Sao tomé et Principe.

Originaire du Mali, expert en santé publique avec plus de 25 ans d’expérience aux niveaux national et international, le Dr Magaran Monzon Bagayoko a été nommé Représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé Cameroun le 08 novembre 2024

Avant cette fonction, il a occupé des rôles clés au sein de l'OMS, notamment en tant que Représentant de l’OMS en République Gabonaise et auprès de la CEEAC (2019-2024), Directeur ai. du Groupe des Maladies Transmissibles pour la Région Africaine (2018-2019), Coordonnateur du Programme Santé Publique & Environnement de la région Africaine (2013-2018), et épidémiologiste interpays pour le contrôle du paludisme et des maladies à transmission vectorielle dans 11 pays d'Afrique centrale (2001-2009).
Avant de rejoindre l’OMS en 2001, le Dr Bagayoko a travaillé (1999-2001) en tant que chercheur sur les systèmes d’aide à la décision pour la gestion du système de santé au niveau local (Université de Greenwich, Royaume-Uni de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord).

Son parcours professionnel a débuté au Mali, où il a travaillé pendant plus de dix ans comme épidémiologiste de terrain, enseignant-chercheur et Coordinateur de l’Unité d’Epidémiologie, Télédétection et Système d’Information Géographique de la Faculté de Médecine, de l’Université du Mali.

Son parcours académique comprend un doctorat en santé publique, option épidémiologie spatiale de l'Université du Mali, ainsi qu'un DEA et une maîtrise en Entomologie et Parasitologie Moléculaire de la même institution. Il est aussi titulaire de plusieurs qualifications et spécialisation dont un Post-Doc en épidémiologie environnementale et système d’aide à la décision de l’Université de Greenwich (Royaume-Uni), un certificat de Spécialisation en télédétection appliquée à la santé de la NASA (USA), un certificat en épidémiologie de l’Université de John Hopkins (USA) et un certificat en Systèmes d’information environnementale pour la surveillance et la prévision épidémiologiques multipathologiques de l’Université de Liverpool (Royaume-Uni).

Il a publié plus de 50 articles scientifiques dans des revues prestigieuses comme Sciences, International Journal of Epidemiology, Geospatial Health, Vaccines, British Medical Journal etc. Il a acquis une solide expérience dans la gestion des urgences en santé publique, notamment lors des épidémies d’Ebola en Afrique de l’Ouest, de fièvre jaune en Afrique centrale, et de la Covid-19.

Dr Bagayoko a été également membre de plusieurs réseaux professionnels et sociaux tels que la Société Américaine de Médecine Tropicale et d'Hygiène (ASTMH), de l’Alliance Stratégique sur la Santé et l’Environnement en Afrique (HESA) et du Consortium International sur le climat et la santé pour l'Afrique (ClimHeath Africa). Il a dirigé le Comité de Bien-être du Personnel du Bureau Régional de l’OMS pour l’Afrique dont il a été le premier Président.

Le Dr Justin Koffi est un citoyen de Côte d'Ivoire. Il a une formation pluridisciplinaire avec plus de vingt ans d'expérience dans le domaine du développement international en tant que médecin de santé publique avec un Master en épidémiologie de l'Université de Californie à Berkeley et un diplôme de docteur en médecine de l'Université nationale de Côte d'Ivoire.

Ancien expert à l'Institut National de la Santé aux Etats-Unis, il a été respectivement Directeur Technique du Programme National de Contrôle du SIDA de Côte d'Ivoire et Conseiller Résident du Projet de Santé Familiale et de Prévention du SIDA de l'USAID pour la Côte d'Ivoire. Il était auparavant représentant de l'UNFPA au Togo. Depuis octobre 2015, il était le directeur du projet Sahel Women's Empowerment and Demographic Dividend (SWEDD), un projet conjoint de la Banque mondiale, de l'UNFPA, de la CEDEAO et de l'Union africaine ainsi que de neuf pays d'Afrique occidentale et centrale.

Avant cela, il a été secrétaire exécutif du projet CORRIDOR Abidjan - Lagos pendant dix ans. Il a également occupé successivement les postes de conseiller résident du projet FHA (Family Health and Sti/Hiv/AIDS Project) financé par l'USAID en Côte d'Ivoire, de directeur technique du programme national ivoirien de lutte contre le sida et la tuberculose. Le Dr Justin KOFFI a également été formé en matière de genre et de développement, de gestion de projet, de planification stratégique, de suivi et d'évaluation.

Le Dr Justin Koffi a géré avec succès des programmes axés sur le marketing social, la santé reproductive/la PF, la santé maternelle et infantile, les IST/VIH, le développement du capital humain, l'autonomisation des femmes et le dividende démographique. Il a une grande expérience des donateurs bilatéraux et multilatéraux et de diverses entités du secteur privé. En plus de sa connaissance du paysage de l'AOC, il a démontré d'excellentes compétences dans l'établissement de relations avec des partenaires clés, et une solide compréhension des politiques, procédures et exigences des différents donateurs.

Le Dr Justin Koffi possède une expertise dans le développement des affaires dans le secteur privé, la mise en œuvre de projets de santé publique, la gestion de la chaîne d'approvisionnement, le renforcement des capacités, la communication pour le changement de comportement, les interventions communautaires, la recherche opérationnelle, le suivi et l'évaluation, la collecte de fonds et la négociation.
du développement, de l'autonomisation des femmes, de l'économie générationnelle et du dividende démographique.

Le Dr Justin Koffi est l'auteur de plusieurs publications et communications dans les domaines de la santé publique, du genre, de la population et du développement, de l'autonomisation des femmes, de l'économie générationnelle et du dividende démographique

Emime Ndihokubwayo a été nommée chef intérimaire du Hub de l'Afrique Centrale et directeur/représentant du bureau national du FIDA à Yaoundé à partir du 1er janvier 2021. Le Hub couvre la RDC, le Cameroun, le Congo, le Tchad, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine et Sao Tomé et Principe. Emime apporte au FIDA une riche expérience professionnelle de plus de 20 ans dans le domaine du développement rural en Afrique et au-delà, dans divers contextes organisationnels, notamment auprès de gouvernements centraux, d'institutions régionales et panafricaines et d'organisations internationales.

Née au Burundi, Emime Ndihokubwayo est titulaire d'une maîtrise en gouvernance et développement de l'Université d'Anvers (Belgique), d'une licence en droit de l'Université du Burundi et d'un certificat en leadership et gestion des cadres de l'Université de Syracuse, New York, États-Unis.

M. Ferrera est un professionnel chevronné qui possède une vaste expérience des relations internationales, de l'économie, des questions humanitaires et du développement. Il est titulaire d'un diplôme d'études supérieures en relations internationales européennes de l'université d'Amsterdam et d'un diplôme d'économie de l'université de Turin, en Italie.

Parlant couramment l'anglais, le français, l'espagnol et le portugais, M. Ferrera a récemment dirigé l'unité de soutien aux systèmes alimentaires et aux petits exploitants au siège du Programme Alimentaire Mondial (PAM) à Rome, avant d'être nommé Représentant et Directeur Pays du PAM au Cameroun et à Sao Tomé-et-Principe. Depuis 2017, il a joué un rôle déterminant dans la production d'orientations générales et la fourniture d'un soutien technique aux bureaux de pays et aux bureaux régionaux du PAM, en mettant l'accent sur l'avancement des programmes de soutien aux marchés des petits exploitants agricoles et sur la réduction des pertes post-récolte.

De 2012 à 2016, M. Ferrera a été Directeur Pays pour le PAM en Côte d'Ivoire, gérant les opérations de secours et de redressement et dirigeant des programmes d'alimentation scolaire, de renforcement des moyens de subsistance et de nutrition. En tant que Directeur Pays Adjoint du PAM au Niger (2008-2011) et à Madagascar (2003-2008), il a supervisé les opérations d'urgence et mené des initiatives visant à améliorer le capital humain et la nutrition. Au Mozambique (2000-2003), il a coordonné les opérations d'urgence en cas d'inondation et géré les opérations de secours par hélicoptère.

Au Mozambique (2000-2003), M. Ferrera a coordonné les opérations de secours d'urgence en cas d'inondation et géré les opérations de secours par hélicoptère. Il a également dirigé les bureaux du PAM au Kosovo (1999-2000) et a été administrateur auxiliaire en Bosnie-Herzégovine (1997-1999), où il a coordonné des projets de réhabilitation et mené des enquêtes sur la sécurité alimentaire.

M. Ferrera a commencé sa carrière en tant que chargé de programme à l'APS en Italie, où il a administré des programmes d'assistance et de développement en Amérique latine et en Afrique dans le cadre de missions sur le terrain.

Hilaire Mputu est Chef de Secteur et Conseiller Régional (Afrique centrale) pour l'Éducation au Bureau régional et multisectoriel de l’UNESCO à Yaoundé, Cameroun (depuis novembre 2017).
Depuis février 2025, il assure les fonctions de Directeur régional par intérim du Bureau régional et multisectoriel de l’UNESCO à Yaoundé, Cameroun.
Mputu est économiste et statisticien de formation, titulaire d’un D.E.S.S. en économie du développement de l’Université d’Auvergne (Centre de recherches et d’études sur le développement international, CERDI), à Clermont-Ferrand, France. Il détient également un Master en économie appliquée de l’Université de Kinshasa (RDC).
Mputu a rejoint l’UNESCO en 1993 en tant que stagiaire à la Division des pays les moins avancés du Secteur SHS au Siège. En 1994, il a été recruté comme surnuméraire (poste temporaire) à la Division des statistiques (désormais Institut de statistique de l’UNESCO - ISU), où il a principalement travaillé sur la production et l’analyse des données/indicateurs de l’éducation, la recherche et les activités de renforcement des capacités. Dans le cadre de la coopération entre l’ISU et le Secteur de l’éducation pour l’évaluation de l’Éducation pour tous (EPT) en 2000, il a été détaché au Secteur de l’éducation et recruté en 1999, avec pour mission d’assurer les normes et standards, notamment sur les aspects statistiques de l’évaluation EPT 2000, y compris en contribuant à l’assistance technique pour la mise en œuvre du projet de Suivi des acquis d’apprentissage (MLA).
À la suite de l’évaluation EPT 2000, il a été affecté à la Division de coordination et de suivi international de l’EPT, où il a contribué à l’élaboration et à la rédaction du Rapport mondial sur l’éducation (GMR). En 2006, il a rejoint la Division des politiques et stratégies éducatives, avec pour mission de fournir des conseils et un appui technique aux États membres, notamment à travers l’assistance technique en matière de politiques éducatives, de planification et de gestion, y compris le développement des Systèmes d’information pour la gestion de l’éducation (SIGE). Il a contribué au développement d’outils clés : (i) le logiciel OpenEMIS pour les SIGE ; (ii) EPPSim ; et (iii) SimuED – un modèle de simulation pour les politiques et stratégies éducatives.
De 2012 à 2013, il a occupé le poste de Chef d’équipe de l’unité Politique et développement des enseignants au sein de la Section Politique et formation des enseignants. De 2014 à 2017, il a travaillé dans la Section des politiques éducatives, où il a contribué à : (i) la recherche et la production de connaissances pour alimenter le débat mondial sur les enjeux émergents des politiques éducatives, notamment sur la gestion et le leadership scolaires ; (ii) l’évaluation des politiques publiques (éducation) en appui aux réformes nationales de l’éducation (RDC, Mozambique, Soudan, Zambie) ; (iii) l’assistance technique (conseil politique) et le renforcement des capacités pour la formulation de politiques et de plans éducatifs solides, y compris l’intégration de l’Agenda Éducation 2030 (Tchad, Congo, RDC, Madagascar, Mozambique).
En plus des responsabilités susmentionnées, M. Mputu a été Point focal du Secteur de l’éducation pour la plateforme intersectorielle « Priorité Afrique : coordination et suivi du plan d’action de l’UNESCO pour l’Afrique », de 2005 à 2017.

Jean Luc Mastaki Namegabe est économiste, titulaire d'un doctorat en économie rurale de l'Université de Liège, Belgique, avec plus de 20 ans d'expérience dans la recherche, l'élaboration et l'évaluation des politiques de développement en Afrique, tant au niveau sous-régional, régional que national.
Il est originaire de la République Démocratique du Congo (RDC). Il y est né en 1972. Il a rejoint la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique (CEA) en décembre 2004 dans le cadre du programme des jeunes professionnels (anciennement concours national).

Au cours des quinze dernières années, il a occupé différentes fonctions : chargé d'affaires économiques à l'ancienne Division du développement durable au siège de la CEA à Addis Abeba (Ethiopie), puis économiste aux bureaux sous-régionaux pour l'Afrique australe à Lusaka (Zambie) et pour l'Afrique de l'Ouest à Niamey (Niger). Il a été par la suite détaché comme économiste principal et chef d'équipe chargé du commerce et des marchés pour les produits tropicaux à la Division du commerce et des marchés (EST) de la FAO, à Rome (Italie).

De retour à la CEA, Monsieur Mastaki a été affecté à Yaoundé successivement comme Economiste Principal et Chef de Section d’appui aux politiques de diversification économique. Il a assuré l’intérim de Directeur du Bureau Sous-Régional pour l’Afrique centrale entre novembre 2021 et avril 2023.

Avant son recrutement à la Commission Economique pour l’Afrique, Monsieur Jean Luc Mastaki était Professeur au sein des Facultés des Sciences économiques de l’Université Officielle de Bukavu (UOB) ainsi qu’au sein d’autres institutions d’enseignement supérieur à l’Est de la RDC, où il a fortement contribué à la recherche et à l’enseignement des sciences économiques et politiques de développement.
Monsieur Mastaki a joué un rôle important dans le développement, la mise en œuvre et l’évaluation des politiques d’industrialisation et de diversification économique ciblées pour les pays de l’Afrique Centrale. Au Cameroun, il a contribué à la relecture du Plan Directeur d’Industrialisation (PDI), au développement de la Stratégie Nationale de mise en œuvre de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine (ZLECAf), ainsi qu’au pilotage d’autres accompagnements institutionnels pour les entités publiques et pour le secteur privé. Conformément au mandat du Bureau relatif à l’industrialisation et à la diversification économique, il apporte avec lui une connaissance approfondie des questions de développement, des défis et des opportunités de l’Afrique centrale, ainsi qu’une capacité à concevoir et à mettre en œuvre des solutions permettant de répondre efficacement à certaines des préoccupations et priorités de développement de nos Etats membres.

M. Mathieu Ciowela Katumba Mateso, ressortissant congolais, apporte plus de 35 ans d’expérience en leadership au sein du PNUD à travers l’Afrique. Avant d’occuper son poste actuel, il a été Représentant Résident au Burundi et au Burkina Faso, où il a assuré un leadership stratégique dans des contextes complexes de développement et de crise.
Monsieur Ciowela a également été Conseiller régional au siège du PNUD à New York, fournissant des orientations techniques et stratégiques à l’échelle du continent africain.
Il a occupé des postes de haut niveau au Sénégal, en République centrafricaine, au Bénin et à Djibouti. Son parcours couvre la gouvernance, la consolidation de la paix, le nexus humanitaire–développement–paix, l’action climatique et le financement des ODD.
Monsieur Ciowela est titulaire d’un Master en économie et de diplômes de troisième cycle en planification et développement de l’IDEP à Dakar. Il parle couramment le français et l’anglais, et est largement reconnu pour ses contributions au développement durable sur le continent.

Marie Pierre Raky Chaupin rejoint le Bureau d’ONUFEMMES au Cameroun au poste de Représentante Résidente après une vaste expérience de 26 ans de travail sur la formulation et la mise en œuvre des programmes et des politiques, dont 22 années de travail sur l’institutionnalisation de la dimension Genre dans les programmes. Avant de rejoindre ce poste, Raky a occupé le poste d’Adjointe de la Représentante pays du Bureau d’ONUFEMMES au Mali (2020-2023). Elle a aussi occupé le poste d’Adjointe à la Chef de l’Unité Genre de la MINUMA au Mali (2019-2020). Auparavant, elle avait occupé, le poste de Conseillère Régionale sur les questions de Genre pour le Programme Alimentaire Mondial (PAM), au Bureau régional (WCARO), couvrant 19 pays (2016-2019). Avant de rejoindre le PAM, Raky a occupé le poste de Coordonnatrice de programme pays pour ONUFEMMES au Sénégal (2012-2016) et celui de Coordonnatrice du Fonds fiduciaire du SNU sur les violences faites aux femmes, ainsi que celui de Coordonnatrice de la Campagne du Secrétaire General du SNU contre les violences faites aux femmes, dans la région Afrique de l’Ouest pour le Bureau régional d’UNIFEM (2009-2012). Raky qui est de nationalité sénégalaise a démarré sa carrière professionnelle dans les ONG internationales (Belge et Canadienne) dans le domaine du Développement rural et comme conseillère sur les questions de Genre avant de rejoindre le SNU en 2009. Raky est titulaire d’une Maitrise et un DEA de Sociologie de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, d’un Master 2 en Droits de l’Homme de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, et d’un Certificat de spécialisation sur Femmes et Développement, de l’Université d’Anvers (Belgique).

Née en Haïti, Mme Perrault a occupé de nombreux postes au sein de l'UNICEF. Elle a également travaillé au Bureau régional de l'UNICEF pour l'Amérique latine et les Caraïbes à Panama. Avant ce poste, elle a travaillé au siège de l'UNICEF à New York en tant que responsable de la protection des droits de l'enfant et en tant que chargée de programme responsable du groupe des droits de l'homme dans la division des politiques et des pratiques. Nadine Perrault a été représentante de l'UNICEF au Salvador. Avant sa nomination au Cameroun, elle a occupé le même poste en Guinée-Bissau. Mme Perrault apporte plus de vingt-cinq ans d'expérience significative dans diverses fonctions.
Nadine Perrault a une formation dans le domaine du droit, avec une spécialisation dans la protection de l'enfance et une expertise dans les droits de l'homme et le genre.

Nouhoum Sangaré (Mali) a pris fonction le 8 août 2022 comme Représentant Régional du Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme (HCDH) et Directeur du Centre des Nations Unies pour les Droits de l’Homme et la Démocratie en Afrique Centrale (CNUDHD-AC).

Avant sa nomination, il était depuis février 2017 le Représentant et Chef des Bureaux de la Cour Pénale Internationale (CPI) en Côte d’Ivoire et au Mali.

De 2004 à 2017, M. Sangaré a servi dans plusieurs entités des Nations Unies, notamment comme Officier des Affaires Civiles à la Mission de Stabilisation des Nations Unies en Haïti (MINUSTAH) de 2004 à 2005, et au Bureau de New York entre 2011 et 2015, où il a été Coordonnateur pour les questions de développement et de l’Agenda 2030 portant Objectifs de Développement Durable (ODD). Il a, en outre, été membre de la Délégation Officielle à la Conférence des Nations Unies sur le Développement Durable de 2012 dite Rio+20. Il a, enfin, été Chef de l’Unité Droits de l’Homme du Bureau des Nations Unies d’Appui à la Consolidation de la Paix en Guinée-Bissau (UNOGBIS) entre 2008 et 2009. Avant sa nomination comme Représentant/Chef des Bureaux de la CPI en Côte d’Ivoire et au Mali, il était Conseiller Technique Principal et Coordonnateur du Projet d’Appui à la Lutte contre la Corruption et le Blanchiment des Capitaux au Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) au Gabon entre 2015 et 2017.

Diplomate de carrière, Nouhoum Sangaré a précédemment travaillé en qualité de Conseiller des Affaires Étrangères de 1998 à 2004 à la Direction des Affaires Politiques du Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale du Mali, où il fut Chef de la Section ONU et Institutions Spécialisées. Il a aussi été Délégué du Mali en Troisième Commission en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles, y compris les droits de l’homme, et en Première Commission qui traite des questions de désarmement et de sécurité internationale lors des 55ème session (2000) et 56ème session (2001) de l’Assemblée Générale des Nations Unies.

Il est titulaire d'une maîtrise en Sciences Juridiques de l'Ecole Nationale d'Administration de Bamako (Mali) et d'un Diplôme d'Etudes Supérieures Spécialisées en Droits de l'Homme de l'Université de Nantes (France).

Raoul BERSHA est un gestionnaire de projet certifié et un spécialiste en suivi et évaluation avec plus de douze (12) ans d'expérience dans le développement international ayant dirigé la mise en œuvre de projets/programmes d'aide au développement dans les secteurs de la santé, de l'éducation et des technologies de l'information et de la communication. Il a travaillé pendant dix ans pour l'Agence coréenne de coopération internationale (KOICA) où il a occupé plusieurs postes de coordinateur de programme des volontaires, coordinateur de projet, spécialiste de projet et chef de l'équipe de gestion de projet jusqu'à son départ en début d’année 2022.
Avant d'être nommé coordinateur national du programme VNU le 1er avril 2024 et en tant que spécialiste au développement des partenariats, il a dirigé le portefeuille pays pour le Bureau des Nations unies pour les services d'appui aux projets (UNOPS) au Cameroun.
Il est juriste, titulaire d'un Master en droit (axée sur l'exploitation minière, le pétrole et le gaz) et actuellement doctorant en droit.

Raymond Tavares de nationalité sénégalaise a plus de 25 ans d'expérience de travail dans la gestion de l'innovation, le développement technologique, les infrastructures de qualité pour l’accès au marché, le commerce international et le développement. Il est titulaire d'un doctorat en économie industrielle et d'une maîtrise en gestion de l'innovation. Ces dernières années, Raymond Tavares a géré des projets et des programmes visant à aider les États membres de l'ONUDI dans leur processus de transition digitale et de transfert/acquisition des nouvelles technologies en vue de leur inclusion dans le processus de la nouvelle révolution industrielle (Industrie 4.0). Raymond Tavares a été nommé Représentant de l'ONUDI au Cameroun et dans les pays d'Afrique centrale en 2020.

Simon Nsabiyeze a pris ses fonctions de Chef de Bureau OCHA au Cameroun en août 2025. Il a rejoint le bureau de Yaoundé en novembre 2024 en tant que Chef de Bureau Adjoint, un poste qu'il a occupé jusqu'en août 2025. Il travaille pour OCHA depuis 2015. Avant de rejoindre le Bureau du Cameroun, il était basé à New York, où il occupait le poste de Desk Officer pour le Tchad, le Niger et le bassin du Lac Tchad. Auparavant, il a occupé les fonctions de Chef de Bureau Adjoint de OCHA au Burkina Faso et de Chef du sous-bureau de OCHA à Gore, au Tchad. Avant de rejoindre OCHA, il a travaillé pour l'organisation Save the Children en République centrafricaine, en Éthiopie, au Mozambique et au Soudan du Sud. Il a également travaillé avec Oxfam au Tchad et avec le Conseil Danois pour les Réfugiés en République centrafricaine. Il a commencé sa carrière humanitaire avec CAFOD dans la région des Grands Lacs (République démocratique du Congo et Rwanda). Il est titulaire d'une Maîtrise en Psychologie et d'une autre Maîtrise en Etudes du Développement.

M. Taoufik Bakkali a rejoint les Nations Unies au Cameroun en tant que directeur national pour UN- AIDs depuis avril 2023. Il apporte plus de 27 ans d'expérience dans la coopération au développement dans les domaines de l'éducation et de la santé, dont plus de 20 ans de travail sur la stratégie et la programmation fondée sur des données probantes en matière de santé et de VIH aux niveaux mondial, régional et national. Grâce à sa riche expérience au sein de diverses organisations bilatérales et multilatérales et d'agences techniques dans plusieurs pays, M. Bakkali a dirigé la conception et la mise en œuvre de stratégies fondées sur des données probantes, d'initiatives de renforcement des capacités et de programmes d'assistance technique en partenariat avec des gouvernements, des organisations internationales, des établissements universitaires, la société civile et des groupes communautaires, en s'appuyant sur sa grande expertise en matière d'information stratégique, de gestion des connaissances, de planification stratégique et de gestion de programmes.
La dernière affectation de M. Bakkali a été l'équipe d'appui régional de l'ONUSIDA pour l'Asie et le Pacifique en tant que directeur régional, après avoir été pendant plus de cinq ans conseiller principal de programme régional en charge de l'information stratégique. M. Bakkali est de nationalité marocaine. Il est titulaire d'une maîtrise en démographie et statistiques de l'Institut national de la statistique et de l'économie appliquée de Rabat, au Maroc, et d'un diplôme universitaire en santé publique de l'Université Henry Point Carré, à Nancy, en France.
M. Bakkali parle couramment l'anglais, le français et l'arabe et possède des compétences de base en espagnol.

Madame Yvette MUHIMPUNDU, travaille pour le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) depuis 1999. Sa carrière professionnelle qui s’étend sur plus de 25 ans lui a permis de renforcer son leadership dans le domaine humanitaire, avec un engagement constant en faveur de la protection et la recherche de solutions pour les personnes déplacées de force, dans des contextes complexes.
Avant de rejoindre le Cameroun comme Représentante du HCR au Cameroun, Madame MUHIMPUNDU occupait depuis 2021, les fonctions de Coordinatrice Principale chargée de la Protection au Bureau Régional du HCR pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, à Dakar.
Son parcours antérieur comprend entre autres une mission au siège du HCR à Genève (2020 à 2021) où elle a dirigé la Section Inter-Agence et Coordination ; un poste de Représentante Adjointe chargée de la Protection au Niger de 2018 à 2020 ; et un rôle significatif en tant que responsable de la Protection respectivement à la Représentation du HCR au Niger (2012-2015) et au Burkina Faso (2015-2018).
Titulaire d’une maîtrise en droit international, Madame MUHIMPUNDU a également été impliquée dans des opérations complexes dans des régions telles que les Grands Lacs, la Corne de l’Afrique et l’ Afrique Centrale.